HEAVEN #3932 – Votre Ascension – 31 août 2011,
Dieu a dit:
Les différents fils de votre vie se rejoignent. Votre cœur est sur la file. Vous ne pouvez plus désormais vous dépeindre de la façon dont vous le faisiez dans le passé. Vous ne pouvez plus vous permettre aujourd'hui ce que vous pensiez pouvoir vous permettre hier.
Vous n'avez jamais pu vous en tirer à bon compte. Toujours, vous avez payé le prix. Vous pouviez tenter de payer par une simple reconnaissance de dette. Mais quelque part le remboursement de cette dette finissait toujours par être exigée.
Peut-être que ce sont les autres qui ont payé pour vos délits. Ils n'étaient peut-être que d'innocents badauds qui se sont trouvés face à vous par hasard. C'est souvent ainsi que ça marche. Celui qui s'offense ou vous offense ne faisait que passer par là. Vous êtes le premier à vous offenser. Vous le faite parce que vous acceptez si peu de vous-même. Vous vous dévalorisez tant que vous devez absolument être soutenu et reconnu par autrui. Comment autrui ose-t-il ne pas vous apprécier? Vous avez terriblement besoin de son approbation et de son estime pour vous aider à oublier votre propre manque d'appréciation!
Vous voulez que les autres vous approuvent. Pourquoi? Pour compenser votre sévère évaluation de vous-même. Cette approbation vous paraît nécessaire. Si vous ne l'obtenez pas, vous êtes comme affligé. Si vous vous aimiez davantage, rien ne vous offenserait. Dès lors que vous vous offensez, cela indique que c'est vous qui êtes aller chercher cette offense. Vous vous en êtes emparé à la façon d'un voleur de magasin qui s'empare d'articles sans payer.
Or, vous payez votre dette en acceptant l'offense. Vous ne vous laissez pas vous en tirer à si bon compte. Vous tapez sur votre propre main. Vous vous punissez avec colère et rancune. Vous êtes toujours persuadé que quelqu'un vous en veut. C'est vous, seulement vous, qui vous en voulez. Je vous dirais que c'est assez: vous vous êtes suffisamment puni et châtié. Bien sûr, ce que Je veux dire, c'est que les châtiments que vous vous infligez ne sont pas nécessaires. Ils peuvent sembler nécessaire, mais seulement parce que votre ego supporte mal l'ego des autres.
C'est effectivement sur le plan de l'ego que vous vous contrariez comme vous le faites. Désormais le temps des offenses touche à sa fin. S'offenser n'est pas aimer. Ce n'est pas de l'amour que de laisser la rancune, la colère et l'âcreté devenir vos maîtres. Maintenant, c'est désormais le temps où vous apprenez à aimer, à aimer non comme un sacrifice, mais par le fruit d'une ascension de votre cœur et de votre conscience. Vous montez du plan de l'ego jusqu'au plan de l'amour.
Désormais, vous ne vous offensez plus. Ce n'est plus possible pour vous de le faire. Cela ne revient pas tout à fait à pardonner. Cela revient plutôt à pardonner en avance, à pardonner par anticipation. Et c'est même davantage: cela revient simplement à voir la vérité.
En vérité, la personne qui vous fait face n'est autre que vous-même, et c'est valable aussi sur le plan relatif. Ainsi, la personne qui vous offense vous reflète. Elle vous renvoie votre propre image en miroir. Si cette personne devant vous est ‘‘tellement avare'', ainsi l'êtes-vous. Si elle est ‘‘un peu simple'', ‘‘indigente'', alors vous l'êtes autant qu'elle. Si cette personne ne pense qu'à elle, alors c'est la même chose pour vous. Si elle veut toujours être la première dans la file d'attente, quitte à doubler les autres, cela traduit votre propre volonté d'être le premier dans la file, quitte aussi à léser les autres. Vous paierez alors par la colère et la rancune, et accuserez même autrui d'avoir exhumé de vous ces émotions négatives.
Je ne vous donne pas des instructions, Mes bien-aimés. Je vous dis simplement que vous montez désormais à un niveau supérieur. Ce plan nouveau, ce plan supérieur en conscience vous permet de devenir généreux. Vous n'avez plus à être le premier dans la file d'attente. Vous laissez passer désormais les autres et vous en êtes parfaitement content. Vous ne perdez pas votre intégrité. Vous grandissez dans l'amour et vous en donnez simplement plus. La leçon a peut-être été difficile, mais désormais il vous est aisé et facile d'aimer. Oui, vous en êtes là.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/votre-ascension-31-aout-2011.html
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lundi, octobre 3
Le Monde Est une Image de Vous
HEAVEN #3933 – Le Monde Est une Image de Vous – 1 septembre 2011,
Dieu a dit:
Vous ne vous limitez plus désormais à de petits paramètres. Ce n'est plus possible pour vous. Vous êtes en pleine expansion. Les habits d'hier ne vous vont plus. Vous êtes dans une telle croissance que vous pourriez bientôt embrasser tout l'Univers à l'intérieur de vous. Vous avez grandi à un point tel que tout est contenu dans votre bulle. Vous êtes votre propre boule de cristal. Non seulement votre avenir est en vous, mais aussi l'avenir du monde. Il s'écoule, il jaillit, il fuse de votre cœur. Vous êtes le créateur de ce qui advient dans le monde. Par vos pensées, par le timbre de votre voix et les créations de votre mental, vous créez la vie sur Terre. Par le battement de votre cœur, vous créez la situation dans laquelle se trouve le monde.
Vous frappez sur un tambour, et partout à la ronde il résonne, et ainsi tout le monde et toute chose se mettent à danser à votre rythme.
Vous pourriez dire que le monde n'est pas synchrone avec vous, néanmoins il s'aligne sur votre tempo et se met à vibrer et danser. Ce que Je vous dis, c'est que vous pourriez ne pas encore avoir pris la mesure de votre responsabilité. Vous préféreriez rester sans responsabilité plutôt que de reconnaître la responsabilité qui vous incombe. Vous préfériez continuer à pointer du doigt et critiquer plutôt que la percevoir et la prendre en compte.
Bien-aimés, cela ne veut pas dire que la situation du monde est votre œuvre directe. Je sais que vous feriez autrement. Je dis cependant que vous avez votre mot à dire dans cette situation. Par vos pensées, par vos émotions, par vos actions, par chacune d'elles, vous influez sur ce monde. Même lorsque vous vous asseyez dans un coin de votre maison, le monde tourne quand même autour de vous. Je le dis encore: le monde est contenu en vous.
Vous choisissez le monde exactement comme vous choisiriez la maison que vous vous apprêtez à louer ou acheter. Choisissez-la dans un charmant quartier, avec un voisinage rempli d'amour. Le monde est votre image et vous en êtes le dessinateur. Vous dessinez la paix ici et là, comme vous pourriez dessiner des éclairs et des grondements.
Vous ne pourriez jamais créer la guerre ni de près ni de loin. Et pourtant des guerres se sont déclarées dans votre cœur, et vous avez combattu dans de nombreuses batailles. Heureusement, vous avez eu aussi de la paix dans votre cœur et de l'amour à donner. Toutes les bonnes rumeurs de la terre sont votre création.
A vous de transmettre les nouvelles.
Soyez attentif cependant à ne pas être belliciste. Surveillez vos discours. Considérez attentivement ce que vous faites et ce que vous ne faites pas. Considérez le monde qui est en vous et aussi à vos pieds. Prenez garde au chemin que vous prenez, puisque d'autres suivront vos pas. Le monde marchera à votre suite. Devenez paix, et le monde embrassera la paix. La musique que vous jouez trouvera un écho à travers le monde tout entier. Peu importe qu'ils viennent de loin, les ennuis du monde ont été fabriqués bien avant qu'ils apparaissent sur le marché. Les ennuis du monde sont à l'échelle du monde. Vous touchez tous les lieux de la Terre, et tous les lieux de la Terre vous touchent. Il n'y a pas de lointain, car tout est proche. Tout est aussi proche que votre cœur.
Ôtez le superflu de votre cœur. L'amour mis à part, tout est superflu dans votre cœur. Le baume qui soulage le monde, c'est l'amour et la paix qui sont en vous. Il n'y a pas de place en vous pour un département des plaintes et des réclamations. Le temps des réclamations s'achève. Désormais que ferez-vous de vous-même, Mes bien-aimés? Je pense que vous devez parvenir à une profonde entente avec vous-même, car vous êtes tout, et tout est vous. La tapisserie qui se trouve suspendue à votre mur, c'est vous qui l'avez tissée. Vous pouvez la changer quand cela vous chante.
Reconnaissez que vous êtes un agent du changement. Devenez ce que vous voulez que le monde soit, et le monde sera comme vous êtes. Il est à votre image, comme vous êtes dès maintenant. Il est à vos ordres. Dites-lui bonjour, souhaitez-lui la bienvenue, et montrez-lui ce qu'il peut être et ce qu'il va devenir. Comprenez-le: il vous a toujours suivi. La folie du monde, c'est la vôtre. La beauté du monde, c'est votre beauté. Et vice versa.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/le-monde-est-une-image-de-vous-1-septembre-2011.html
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Dieu a dit:
Vous ne vous limitez plus désormais à de petits paramètres. Ce n'est plus possible pour vous. Vous êtes en pleine expansion. Les habits d'hier ne vous vont plus. Vous êtes dans une telle croissance que vous pourriez bientôt embrasser tout l'Univers à l'intérieur de vous. Vous avez grandi à un point tel que tout est contenu dans votre bulle. Vous êtes votre propre boule de cristal. Non seulement votre avenir est en vous, mais aussi l'avenir du monde. Il s'écoule, il jaillit, il fuse de votre cœur. Vous êtes le créateur de ce qui advient dans le monde. Par vos pensées, par le timbre de votre voix et les créations de votre mental, vous créez la vie sur Terre. Par le battement de votre cœur, vous créez la situation dans laquelle se trouve le monde.
Vous frappez sur un tambour, et partout à la ronde il résonne, et ainsi tout le monde et toute chose se mettent à danser à votre rythme.
Vous pourriez dire que le monde n'est pas synchrone avec vous, néanmoins il s'aligne sur votre tempo et se met à vibrer et danser. Ce que Je vous dis, c'est que vous pourriez ne pas encore avoir pris la mesure de votre responsabilité. Vous préféreriez rester sans responsabilité plutôt que de reconnaître la responsabilité qui vous incombe. Vous préfériez continuer à pointer du doigt et critiquer plutôt que la percevoir et la prendre en compte.
Bien-aimés, cela ne veut pas dire que la situation du monde est votre œuvre directe. Je sais que vous feriez autrement. Je dis cependant que vous avez votre mot à dire dans cette situation. Par vos pensées, par vos émotions, par vos actions, par chacune d'elles, vous influez sur ce monde. Même lorsque vous vous asseyez dans un coin de votre maison, le monde tourne quand même autour de vous. Je le dis encore: le monde est contenu en vous.
Vous choisissez le monde exactement comme vous choisiriez la maison que vous vous apprêtez à louer ou acheter. Choisissez-la dans un charmant quartier, avec un voisinage rempli d'amour. Le monde est votre image et vous en êtes le dessinateur. Vous dessinez la paix ici et là, comme vous pourriez dessiner des éclairs et des grondements.
Vous ne pourriez jamais créer la guerre ni de près ni de loin. Et pourtant des guerres se sont déclarées dans votre cœur, et vous avez combattu dans de nombreuses batailles. Heureusement, vous avez eu aussi de la paix dans votre cœur et de l'amour à donner. Toutes les bonnes rumeurs de la terre sont votre création.
A vous de transmettre les nouvelles.
Soyez attentif cependant à ne pas être belliciste. Surveillez vos discours. Considérez attentivement ce que vous faites et ce que vous ne faites pas. Considérez le monde qui est en vous et aussi à vos pieds. Prenez garde au chemin que vous prenez, puisque d'autres suivront vos pas. Le monde marchera à votre suite. Devenez paix, et le monde embrassera la paix. La musique que vous jouez trouvera un écho à travers le monde tout entier. Peu importe qu'ils viennent de loin, les ennuis du monde ont été fabriqués bien avant qu'ils apparaissent sur le marché. Les ennuis du monde sont à l'échelle du monde. Vous touchez tous les lieux de la Terre, et tous les lieux de la Terre vous touchent. Il n'y a pas de lointain, car tout est proche. Tout est aussi proche que votre cœur.
Ôtez le superflu de votre cœur. L'amour mis à part, tout est superflu dans votre cœur. Le baume qui soulage le monde, c'est l'amour et la paix qui sont en vous. Il n'y a pas de place en vous pour un département des plaintes et des réclamations. Le temps des réclamations s'achève. Désormais que ferez-vous de vous-même, Mes bien-aimés? Je pense que vous devez parvenir à une profonde entente avec vous-même, car vous êtes tout, et tout est vous. La tapisserie qui se trouve suspendue à votre mur, c'est vous qui l'avez tissée. Vous pouvez la changer quand cela vous chante.
Reconnaissez que vous êtes un agent du changement. Devenez ce que vous voulez que le monde soit, et le monde sera comme vous êtes. Il est à votre image, comme vous êtes dès maintenant. Il est à vos ordres. Dites-lui bonjour, souhaitez-lui la bienvenue, et montrez-lui ce qu'il peut être et ce qu'il va devenir. Comprenez-le: il vous a toujours suivi. La folie du monde, c'est la vôtre. La beauté du monde, c'est votre beauté. Et vice versa.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/le-monde-est-une-image-de-vous-1-septembre-2011.html
Copyright © 1999-Now Heavenletters™
Embellissez l’Univers
HEAVEN #3934 – Embellissez l’Univers – 2 septembre 2011,
Dieu a dit:
Vous n'avez pas besoin de dire tout ce qui vous passe par la tête. Est-ce une nouvelle idée? Ok. Mais vous n'avez pas à tout dire, et personne n'est tenu d'entendre tout ce que vous avez à dire. Le silence est une excellente option, et ce très souvent, pas juste de temps en temps.
Trop souvent, ceux qui parmi vous parlent beaucoup, pensent beaucoup, sont au final assez peu réfléchis. Vos pensées vous font dévier. Soyez plutôt porté par l'amour. L'amour est la seule chose qui puisse vous conduire au loin. L'amour vous conduit bien plus loin que le bout de votre rue. L'amour vous transportera jusqu'au plus haut Ciel.
La pensée tourne en rond. Vous le savez bien. Parfois Je pense à vous, vous qui tournez et retournez vos pensées et tirez de magnifiques conclusions, à l'image de ce garçon qui arrache une mirabelle d'un arbre et dit: ‘‘quel brave garçon je suis !''
Essayez d'être silencieux pour la journée entière. A quoi peut bien ressembler le monde depuis la perspective du silence? Vous ne vous souviendrez peut-être pas de ce qui était si important à vos yeux que vous deviez absolument le raconter à tout le monde.
N'ayez qu'une pensée, une pensée d'amour. Et lorsque vous parlez, que cela soit pour le service et le bien-être d'autrui, et pas pour votre propre intérêt. Vous devez parvenir à penser au-delà de votre propre sphère, au-delà des préoccupations immédiates de votre petit moi. Si vous n'y parvenez pas, vous êtes comme Narcisse sur le bord d'un lac, tombant amoureux de son propre reflet.
Bien sûr, vous adorez vous entendre parler. Désormais aimez aussi écouter. Désormais aimez servir.
Vous n'avez pas besoin de sacrifier votre vie pour les autres, mais justes vos paroles. Déployez devant autrui un jardin, un vrai jardin avec de vraies fleurs, pas des fleurs artificielles. Trouvez ce jardin dans votre cœur, et ornez-en votre discours de ses fleurs magnifiques.
Cessez désormais d'annoncer ce qui vous contrarie. Pourquoi semer de la contrariété tandis que vous pourriez donner de l'amour? C'est le temps de changer. Dites quelque chose de nouveau, cette fois et les fois prochaines. Cessez de dire du négatif.
Tout le monde peut trouver des fautes. Cela ne demande aucun talent particulier de sans cesse souligner ce qui ne va pas ou ce qui représente un défaut. Les failles sont évidentes. Tout le monde peut les voir.
Pourquoi s'évertuer à souligner et pointer du doigt les fautes alors que vous pourriez donner de l'amour? Et quand bien même vous n'en auriez pas dans votre cœur, vous pouvez toujours tenter de vous élever jusqu'à l'amour.
Aimez en félicitant, aimez en appréciant, aimez en bénissant. Aimez en embellissant l'univers de vos appréciations positives. Qu'est-ce que cela traduit lorsque les fautes, les critiques, les récriminations, prennent toute la place dans vos pensées? C'est la même question pour les fautes que vous trouvez en vous. Quel est l'intérêt d'y revenir sans cesse? Qui cela sert? Pas vous, pas Moi.
Que montrez-vous du doigt? Montrez ce qui sert un but. Quel est votre but? Votre but est-il de devenir le champion de la critique, le plus grand trouveur de fautes et de défauts de toute la création? Il n'y a rien d'original à trouver des fautes. Il y a des choses à côté desquelles il convient de passer tout en douceur. Évitez l'obscurité et choisissez la lumière. Ce n'est pas votre rôle de mettre l'accent sur les défauts.
Regardez en vous-même. Si vous n'aimez pas les nids-de-poule sur la route, cessez de vous plaindre à leur sujet. Les encouragements produisent des merveilles, tandis que les jugements et les récriminations ne produisent rien de bon.
Si vous avez horreur des détritus dans un parc, ramassez-les alors. Montrez l'exemple aux autres. Montrez un exemple remarquable. Un exemple lumineux et magnifique.
Illuminez le monde.
Vous avez suffisamment exposé votre mécontentement. Descendez de ce cheval. Trouvez-en un autre. Dites au revoir à l'insatisfaction. Embrassez la satisfaction. Si vous voulez une bonne santé, vous n'iriez pas embrasser la maladie.
Si vous voulez une vie satisfaisante, alors s'il vous plaît cessez d'embrasser la contrariété et l'insatisfaction. Votez pour ce que vous aimez. Assez de ce que vous n'aimez pas. Je ne vous ai jamais recruté pour que vous trouviez des fautes. Trouvez plutôt des sujets de satisfaction et de joie.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/embellissez-l-univers-2-septembre-2011.html
Dieu a dit:
Vous n'avez pas besoin de dire tout ce qui vous passe par la tête. Est-ce une nouvelle idée? Ok. Mais vous n'avez pas à tout dire, et personne n'est tenu d'entendre tout ce que vous avez à dire. Le silence est une excellente option, et ce très souvent, pas juste de temps en temps.
Trop souvent, ceux qui parmi vous parlent beaucoup, pensent beaucoup, sont au final assez peu réfléchis. Vos pensées vous font dévier. Soyez plutôt porté par l'amour. L'amour est la seule chose qui puisse vous conduire au loin. L'amour vous conduit bien plus loin que le bout de votre rue. L'amour vous transportera jusqu'au plus haut Ciel.
La pensée tourne en rond. Vous le savez bien. Parfois Je pense à vous, vous qui tournez et retournez vos pensées et tirez de magnifiques conclusions, à l'image de ce garçon qui arrache une mirabelle d'un arbre et dit: ‘‘quel brave garçon je suis !''
Essayez d'être silencieux pour la journée entière. A quoi peut bien ressembler le monde depuis la perspective du silence? Vous ne vous souviendrez peut-être pas de ce qui était si important à vos yeux que vous deviez absolument le raconter à tout le monde.
N'ayez qu'une pensée, une pensée d'amour. Et lorsque vous parlez, que cela soit pour le service et le bien-être d'autrui, et pas pour votre propre intérêt. Vous devez parvenir à penser au-delà de votre propre sphère, au-delà des préoccupations immédiates de votre petit moi. Si vous n'y parvenez pas, vous êtes comme Narcisse sur le bord d'un lac, tombant amoureux de son propre reflet.
Bien sûr, vous adorez vous entendre parler. Désormais aimez aussi écouter. Désormais aimez servir.
Vous n'avez pas besoin de sacrifier votre vie pour les autres, mais justes vos paroles. Déployez devant autrui un jardin, un vrai jardin avec de vraies fleurs, pas des fleurs artificielles. Trouvez ce jardin dans votre cœur, et ornez-en votre discours de ses fleurs magnifiques.
Cessez désormais d'annoncer ce qui vous contrarie. Pourquoi semer de la contrariété tandis que vous pourriez donner de l'amour? C'est le temps de changer. Dites quelque chose de nouveau, cette fois et les fois prochaines. Cessez de dire du négatif.
Tout le monde peut trouver des fautes. Cela ne demande aucun talent particulier de sans cesse souligner ce qui ne va pas ou ce qui représente un défaut. Les failles sont évidentes. Tout le monde peut les voir.
Pourquoi s'évertuer à souligner et pointer du doigt les fautes alors que vous pourriez donner de l'amour? Et quand bien même vous n'en auriez pas dans votre cœur, vous pouvez toujours tenter de vous élever jusqu'à l'amour.
Aimez en félicitant, aimez en appréciant, aimez en bénissant. Aimez en embellissant l'univers de vos appréciations positives. Qu'est-ce que cela traduit lorsque les fautes, les critiques, les récriminations, prennent toute la place dans vos pensées? C'est la même question pour les fautes que vous trouvez en vous. Quel est l'intérêt d'y revenir sans cesse? Qui cela sert? Pas vous, pas Moi.
Que montrez-vous du doigt? Montrez ce qui sert un but. Quel est votre but? Votre but est-il de devenir le champion de la critique, le plus grand trouveur de fautes et de défauts de toute la création? Il n'y a rien d'original à trouver des fautes. Il y a des choses à côté desquelles il convient de passer tout en douceur. Évitez l'obscurité et choisissez la lumière. Ce n'est pas votre rôle de mettre l'accent sur les défauts.
Regardez en vous-même. Si vous n'aimez pas les nids-de-poule sur la route, cessez de vous plaindre à leur sujet. Les encouragements produisent des merveilles, tandis que les jugements et les récriminations ne produisent rien de bon.
Si vous avez horreur des détritus dans un parc, ramassez-les alors. Montrez l'exemple aux autres. Montrez un exemple remarquable. Un exemple lumineux et magnifique.
Illuminez le monde.
Vous avez suffisamment exposé votre mécontentement. Descendez de ce cheval. Trouvez-en un autre. Dites au revoir à l'insatisfaction. Embrassez la satisfaction. Si vous voulez une bonne santé, vous n'iriez pas embrasser la maladie.
Si vous voulez une vie satisfaisante, alors s'il vous plaît cessez d'embrasser la contrariété et l'insatisfaction. Votez pour ce que vous aimez. Assez de ce que vous n'aimez pas. Je ne vous ai jamais recruté pour que vous trouviez des fautes. Trouvez plutôt des sujets de satisfaction et de joie.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/embellissez-l-univers-2-septembre-2011.html
Enjambez l’Univers
HEAVEN #3935 – Enjambez l’Univers – 3 septembre 2011,
Dieu a dit:
Vous grandissez en amour et en sagesse à gauche et à droite. Et la croissance n'est pas toujours de tout repos. Votre ego se délabre à gauche et à droite et c'est comme ça que vous grandissez. L'ego se voit forcé de céder le passage, du moins pour un temps, et vous vous voyez vous élever vers le soleil. Vous n'avez pas été brûlés. Votre ego l'a été.
L'ego ne disparaît pas en flammes sans combat. Je parle de l'ego comme si vous n'aviez aucune responsabilité envers lui. Peu importe, vous apprenez à vous débrouiller sans lui ou avec si peu d'assistance venant de sa part.
Vous commencez réellement à apprendre que ces affronts ne sont pas dirigés contre vous mais seulement contre votre ego. Oh! bien-aimés, pensez à ce que ce sera quand l'ego ne vous harcèlera plus, qu'il ne soutirera plus le meilleur de vous-mêmes et que vous vous tiendrez au-dessus de lui. Imaginez-vous en train de discourir, l'ego étant à l'étage en-dessous et vous, tenant votre pied sur l'ego et le maintenant à terre. Maintenant c'est l'ego qui se soumet à vous et non vous qui vous vous soumettez à l'ego. Vous vous êtes maintenant élevés et vous enjambez l'Univers sciemment avec Moi.
L'ego a entravé votre manière d'être. Vous commencez à peine à découvrir quelle est votre manière d'être, votre vrai style, votre vraie façon d'être sans les entraves de votre ego et des besoins de l'ego. Quand vous n'avez pas d'ego, qu'exigez-vous? Sans ego, vous, qui êtes tout, avez tout ce dont vous avez besoin. Et s'il y avait quelque chose que vous n'avez pas, vous n'en auriez pas besoin. Vous aviez énormément besoin de ne plus réquisitionner l'ego, cet égoïste crétin d'ego qui s'est placé en travers de votre chemin. Je dis les choses comme elles sont.
Nous ne ferons point d'ode à l'ego mais nous n'entretiendrons pas non plus d'animosité envers l'ego qui s'est écroulé. Bien que l'ego ait été un adversaire, il remplissait un but envers vous. Il vous a permis de vous rendre où vous êtes actuellement. Maintenant vous êtes héros envers vous-mêmes. Sans ego, vous pouvez vraiment aimer votre soi qui est un don de Dieu. L'ego était comme une irruption cutanée, brûlante et irritante, et maintenant vous ne souffrez plus son inflammation. Maintenant vous êtes calmes et refroidis. Vous avez enlevé la chemise de crin de l'ego. Vous ne courbez plus l'échine devant lui. Maintenant vous vous courbez devant le soleil et devant le Dieu qui est à l'intérieur de vous.
Remercions l'ego de vous avoir aidé et d'avoir aidé le monde à voir de quoi a vraiment l'air un ego et non pas l'image que vous vous en faisiez ni l'importance que vous lui accordiez. Maintenant vous enlevez votre pied de l'ego qui est désormais couché sur le ventre et le laissez filer la queue entre les jambes. De toute façon, l'ego était une totale illusion. Il n'a jamais existé sinon dans le culte que vous lui avez voué. L'ego vous avait enroulé autour de son petit doigt. Comme l'ego a pu être arrogant.
Maintenant vous êtes libérés de l'ego. Même s'il vous a maintenu en son pouvoir, il n'a jamais eu d'autre pouvoir que celui que vous lui avez consenti. Vous avez nourri l'ego de l'ego. Et maintenant vous êtes libres. Sinon presque libres. Vous êtes certainement en train d'y arriver.
Qu'y a-t-il à dire à propos de l'ego quand il a disparu ou bien qu'il est en voie de disparition? L'ego n'a jamais eu quoi que ce soit à faire avec vous! C'était votre ego! Plutôt que dompter cet ego vagabond, vous l'avez laissé vous dresser! Et maintenant vous échappez progressivement à l'emprise de l'ego. Vous aviez l'habitude d'être couché sur le ventre sur le plancher de la vie et l'ego maintenait son pied sur vous. Vous laissez maintenant l'ego partir. Stop ego, stop! Enfin, vous relâchez votre emprise sur lui.
Faisons une célébration. Faisons un Jour d'Action de grâces.Hourra, vous survivez à l'ego et à toutes les images du passé.
Traduit par: Normand Bourque
Page originale :http://www.heavenletters.org/enjambez-l-univers-3-septembre-2011.html
Dieu a dit:
Vous grandissez en amour et en sagesse à gauche et à droite. Et la croissance n'est pas toujours de tout repos. Votre ego se délabre à gauche et à droite et c'est comme ça que vous grandissez. L'ego se voit forcé de céder le passage, du moins pour un temps, et vous vous voyez vous élever vers le soleil. Vous n'avez pas été brûlés. Votre ego l'a été.
L'ego ne disparaît pas en flammes sans combat. Je parle de l'ego comme si vous n'aviez aucune responsabilité envers lui. Peu importe, vous apprenez à vous débrouiller sans lui ou avec si peu d'assistance venant de sa part.
Vous commencez réellement à apprendre que ces affronts ne sont pas dirigés contre vous mais seulement contre votre ego. Oh! bien-aimés, pensez à ce que ce sera quand l'ego ne vous harcèlera plus, qu'il ne soutirera plus le meilleur de vous-mêmes et que vous vous tiendrez au-dessus de lui. Imaginez-vous en train de discourir, l'ego étant à l'étage en-dessous et vous, tenant votre pied sur l'ego et le maintenant à terre. Maintenant c'est l'ego qui se soumet à vous et non vous qui vous vous soumettez à l'ego. Vous vous êtes maintenant élevés et vous enjambez l'Univers sciemment avec Moi.
L'ego a entravé votre manière d'être. Vous commencez à peine à découvrir quelle est votre manière d'être, votre vrai style, votre vraie façon d'être sans les entraves de votre ego et des besoins de l'ego. Quand vous n'avez pas d'ego, qu'exigez-vous? Sans ego, vous, qui êtes tout, avez tout ce dont vous avez besoin. Et s'il y avait quelque chose que vous n'avez pas, vous n'en auriez pas besoin. Vous aviez énormément besoin de ne plus réquisitionner l'ego, cet égoïste crétin d'ego qui s'est placé en travers de votre chemin. Je dis les choses comme elles sont.
Nous ne ferons point d'ode à l'ego mais nous n'entretiendrons pas non plus d'animosité envers l'ego qui s'est écroulé. Bien que l'ego ait été un adversaire, il remplissait un but envers vous. Il vous a permis de vous rendre où vous êtes actuellement. Maintenant vous êtes héros envers vous-mêmes. Sans ego, vous pouvez vraiment aimer votre soi qui est un don de Dieu. L'ego était comme une irruption cutanée, brûlante et irritante, et maintenant vous ne souffrez plus son inflammation. Maintenant vous êtes calmes et refroidis. Vous avez enlevé la chemise de crin de l'ego. Vous ne courbez plus l'échine devant lui. Maintenant vous vous courbez devant le soleil et devant le Dieu qui est à l'intérieur de vous.
Remercions l'ego de vous avoir aidé et d'avoir aidé le monde à voir de quoi a vraiment l'air un ego et non pas l'image que vous vous en faisiez ni l'importance que vous lui accordiez. Maintenant vous enlevez votre pied de l'ego qui est désormais couché sur le ventre et le laissez filer la queue entre les jambes. De toute façon, l'ego était une totale illusion. Il n'a jamais existé sinon dans le culte que vous lui avez voué. L'ego vous avait enroulé autour de son petit doigt. Comme l'ego a pu être arrogant.
Maintenant vous êtes libérés de l'ego. Même s'il vous a maintenu en son pouvoir, il n'a jamais eu d'autre pouvoir que celui que vous lui avez consenti. Vous avez nourri l'ego de l'ego. Et maintenant vous êtes libres. Sinon presque libres. Vous êtes certainement en train d'y arriver.
Qu'y a-t-il à dire à propos de l'ego quand il a disparu ou bien qu'il est en voie de disparition? L'ego n'a jamais eu quoi que ce soit à faire avec vous! C'était votre ego! Plutôt que dompter cet ego vagabond, vous l'avez laissé vous dresser! Et maintenant vous échappez progressivement à l'emprise de l'ego. Vous aviez l'habitude d'être couché sur le ventre sur le plancher de la vie et l'ego maintenait son pied sur vous. Vous laissez maintenant l'ego partir. Stop ego, stop! Enfin, vous relâchez votre emprise sur lui.
Faisons une célébration. Faisons un Jour d'Action de grâces.Hourra, vous survivez à l'ego et à toutes les images du passé.
Traduit par: Normand Bourque
Page originale :http://www.heavenletters.org/enjambez-l-univers-3-septembre-2011.html
De Plein Gré ou à Contrecœur
HEAVEN #3962 – De Plein Gré ou à Contrecœur – 30 septembre 2011,
Dieu a dit:
Savourez la vie à pleine dent. Écoutez ses messages. Dans toutes ses voies, la vie vous soutient. Et même lorsqu'elle semble vous abandonner, elle vous soutient encore plus. C'est comme si elle vous poussait du coude pour que vous vous leviez et sortiez du lieu où vous êtes assis.
Lorsque la vie semble vous laisser tomber, c'est un peu à la manière des enfants à qui on apprend à nager. Ils sont poussés dans l'eau, puis ils apprennent à nager. Ils se surprennent eux-mêmes et ils se retrouvent en train de nager, bon gré, mal gré. Vous avez été poussés dans les eaux de la vie et - en ce moment même - vous apprenez à nager.
Évidemment, la vie ne se résume pas à cela. Pourtant, que vous le vouliez ou non, vous apprenez à nager.
Soyez reconnaissant pour tout ce qu'elle vous apprend et pour tout ce que vous donnez. Soyez reconnaissant.
La vie est une bénédiction à chaque instant. Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il fasse beau, la vie est une bénédiction pour vous.
Vous savez dorénavant que Je vous bénis à chaque instant. Même à travers ce qui peut vous sembler une tragédie, Je vous bénis. A long terme, vous finirez par voir une bénédiction dans ce que vous pensiez être une tragédie. A court terme, c'est une toute autre histoire. A court terme, vous avez tendance à dire : ‘‘Mais comment est-ce possible? Comment Dieu peut-Il me faire ça? Comment Dieu peut-Il permettre à ceci d'arriver?''
Vous êtes dans un courant d'évolution. Mieux vaut nager dans le sens du courant que dans le sens inverse.
Vous n'avez pas à tant protester contre la vie et ses difficultés. Mieux vaut nager, dépasser les difficultés et ne pas regarder en arrière. Ne cherchez pas. N'enquêtez pas. N'hésitez pas à nager au-dessus des eaux profondes. N'hésitez pas.
Ce qui vous fait face, vous fait face. Ça peut ne pas vous plaire, pourtant il vous est offert un généreux saut dans la conscience. Acceptez-le et poursuivez votre route. Avancez. Il n'y a rien d'autre à faire. Rien d'autre à faire qui vous soit vraiment utile, J'entends.
Quel que soit l'obstacle que la vie vous présente, il vous libère. Vous êtes libéré de quelque chose. Mieux vaut être libre qu'enchaîné. Délivrez-vous de tout ce qui vous a retenu en arrière.
C'est bon de changer. De plein gré ou à contrecœur, vous ne pouvez pas de toute façon y échapper. De plein gré ou à contrecœur, vous devez vous accommoder des changements de la vie. Vous ne pouvez pas changer ce qui change pour revenir en arrière. Et ce n'est pas une surprise. Cela a toujours été ainsi. Qu'y a-t-il donc d'autre à faire que d'accompagner ce changement et de s'y adapter ? Mettez-vous au diapason de la vie. Ne restez pas là à vous tourner les pouces. Protester revient à se tourner les pouces. L'entêtement ne vous sert à rien. Soyez accommodant avec la vie.
Dites : ‘‘D'accord, Dieu, je m'en accommoderai. J'avancerai tout droit dans la vie. J'en suis amoureux et j'ai hâte de voir sa prochaine manifestation. Merci de me préparer à ce qui vient. Merci d'ouvrir mes yeux et d'ouvrir mon cœur. Merci de m'aider à voir la vie comme un cadeau que Tu as créé. Je sais que je suis comme dans une pièce de théâtre. Je suis un des personnages de la pièce et je joue mon rôle. Et bien sûr, mon rôle peut changer. Je peux passer du personnage craintif au valeureux héro. Je ne suis pas tenu de jouer toujours le même personnage. Je peux ouvrir les fenêtres de ma vie. Je peux aller d'une scène à une autre. Je peux aussi bien claquer une porte à grand bruit que la refermer discrètement. Je peux être tout ce que Tu m'invites à être. Merci.''
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/de-plein-gre-ou-a-contrecoeur-30-septembre-2011.html
Dieu a dit:
Savourez la vie à pleine dent. Écoutez ses messages. Dans toutes ses voies, la vie vous soutient. Et même lorsqu'elle semble vous abandonner, elle vous soutient encore plus. C'est comme si elle vous poussait du coude pour que vous vous leviez et sortiez du lieu où vous êtes assis.
Lorsque la vie semble vous laisser tomber, c'est un peu à la manière des enfants à qui on apprend à nager. Ils sont poussés dans l'eau, puis ils apprennent à nager. Ils se surprennent eux-mêmes et ils se retrouvent en train de nager, bon gré, mal gré. Vous avez été poussés dans les eaux de la vie et - en ce moment même - vous apprenez à nager.
Évidemment, la vie ne se résume pas à cela. Pourtant, que vous le vouliez ou non, vous apprenez à nager.
Soyez reconnaissant pour tout ce qu'elle vous apprend et pour tout ce que vous donnez. Soyez reconnaissant.
La vie est une bénédiction à chaque instant. Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il fasse beau, la vie est une bénédiction pour vous.
Vous savez dorénavant que Je vous bénis à chaque instant. Même à travers ce qui peut vous sembler une tragédie, Je vous bénis. A long terme, vous finirez par voir une bénédiction dans ce que vous pensiez être une tragédie. A court terme, c'est une toute autre histoire. A court terme, vous avez tendance à dire : ‘‘Mais comment est-ce possible? Comment Dieu peut-Il me faire ça? Comment Dieu peut-Il permettre à ceci d'arriver?''
Vous êtes dans un courant d'évolution. Mieux vaut nager dans le sens du courant que dans le sens inverse.
Vous n'avez pas à tant protester contre la vie et ses difficultés. Mieux vaut nager, dépasser les difficultés et ne pas regarder en arrière. Ne cherchez pas. N'enquêtez pas. N'hésitez pas à nager au-dessus des eaux profondes. N'hésitez pas.
Ce qui vous fait face, vous fait face. Ça peut ne pas vous plaire, pourtant il vous est offert un généreux saut dans la conscience. Acceptez-le et poursuivez votre route. Avancez. Il n'y a rien d'autre à faire. Rien d'autre à faire qui vous soit vraiment utile, J'entends.
Quel que soit l'obstacle que la vie vous présente, il vous libère. Vous êtes libéré de quelque chose. Mieux vaut être libre qu'enchaîné. Délivrez-vous de tout ce qui vous a retenu en arrière.
C'est bon de changer. De plein gré ou à contrecœur, vous ne pouvez pas de toute façon y échapper. De plein gré ou à contrecœur, vous devez vous accommoder des changements de la vie. Vous ne pouvez pas changer ce qui change pour revenir en arrière. Et ce n'est pas une surprise. Cela a toujours été ainsi. Qu'y a-t-il donc d'autre à faire que d'accompagner ce changement et de s'y adapter ? Mettez-vous au diapason de la vie. Ne restez pas là à vous tourner les pouces. Protester revient à se tourner les pouces. L'entêtement ne vous sert à rien. Soyez accommodant avec la vie.
Dites : ‘‘D'accord, Dieu, je m'en accommoderai. J'avancerai tout droit dans la vie. J'en suis amoureux et j'ai hâte de voir sa prochaine manifestation. Merci de me préparer à ce qui vient. Merci d'ouvrir mes yeux et d'ouvrir mon cœur. Merci de m'aider à voir la vie comme un cadeau que Tu as créé. Je sais que je suis comme dans une pièce de théâtre. Je suis un des personnages de la pièce et je joue mon rôle. Et bien sûr, mon rôle peut changer. Je peux passer du personnage craintif au valeureux héro. Je ne suis pas tenu de jouer toujours le même personnage. Je peux ouvrir les fenêtres de ma vie. Je peux aller d'une scène à une autre. Je peux aussi bien claquer une porte à grand bruit que la refermer discrètement. Je peux être tout ce que Tu m'invites à être. Merci.''
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/de-plein-gre-ou-a-contrecoeur-30-septembre-2011.html
Toutes les Relations
HEAVEN #3963 – Toutes les Relations – 1 octobre 2011,
Dieu a dit:
Vous évoluez. Vous ne cessez d'évoluer. Vous faites des progrès absolument fantastiques. Vous faites le tour de l'Univers puis vous recommencez. Vous éclipsez le monde, Mes bien-aimés. Vous l'encerclez. Vous le tenez dans vos bras. Vous portez le monde en vous. Vous lui donnez la vie.
Longtemps vous avez dépendu du monde changeant. Et maintenant vous savez que le monde dépend de vous et de la façon dont vous le percevez.
Il se trouve des mondes à l'intérieur de chaque monde. Plusieurs strates qui s'entretissent avec d'autres strates. Et vous êtes comme les tricoteurs de ces mondes. Toutes les bobines de fil vous ont été confiées. Ainsi vous tricotez le monde. Alors tricotez bien.
Chaque relation que vous nouez dans le monde est comme un engagement. Tandis que certaines font long feu, d'autres sont de courte durée. Tandis que dans certaines relations le mariage est annulé, dans d'autres il est vraiment célébré.
Je parle de toutes les relations. Les relations de familles. Les relations d'amitiés. Les relations avec de soi-disant étrangers. Même lorsque vous achetez un article dans un magasin, une relation se noue. Les yeux échangent des regards. L'achat est enregistré. Il y a des sourires. C'est le mariage.
Il y a des contrats. Il y a aussi des contrats silencieux. Des consentements sont échangés. Et lorsque les sentiments l'emportent, les règles du jeu sont changées. Ce qui a changé ne peut être caché et le mariage n'a pas toujours lieu.
Appréciez vos engagements. Engagez-vous les uns envers les autres. En définitive, Mes bien-aimés, vous vous marriez toujours à vous-même.
Vous êtes le marié et la mariée tout à la fois. Vous êtes le vendeur et le client. Vous êtes le professeur et l'étudiant. Vous jouez toute la liste des personnages dans la scène que vous avez réalisée et mise au point.
Cet aspect global de la vie relève d'un mariage des cœurs, bien que ce ne soit pas tout le monde qui vit heureux pour toujours. Ils sont nombreux dans cette situation. Considérez tout de même que la vie se renouvelle toujours. Même un engagement passé peut recommencer. Vous n'êtes jamais toujours les mêmes. Dans le monde, rien ne reste figé. Tout est changement, et parfois le changement bouillonne dans votre cœur.
Écoutez ce que je dis. Accueillez le changement. Accueillez-le. Le changement est votre ami. Bien sûr, le changement n'est pas un ami constant, mais un ami tout de même. Soyez des amis du changement. Dans le monde, Mes bien-aimés, sur la surface de ce monde, le changement est la seule constante. Le monde joue avec vous. Il change d'avis fréquemment, quotidiennement, à chaque instant. Le monde existant est un tapis qui se retire de sous vos pieds. Il n'y pas de sol ferme sur lequel se tenir. Fugace est le monde.
Vous pourriez dire que la vie se joue de vous et vous attaque par vos points faibles. En effet, elle s'avance furtivement vers vous et s'éloigne d'un pas dansant, pour revenir ou non comme et quand elle veut, peut-être avec un autre déguisement pour vous dérouter. Le monde offre sans cesse de nouvelles représentations. Et vous êtes acteurs et spectateurs tout à la fois.
Parfois vous avez l'impression d'être un pantin. Levez-vous vos bras ou est-ce quelqu'un d'autre qui le fait à votre place? Vous êtes jeté au milieu d'une scène à laquelle vous n'étiez pas préparé. Vous ne connaissez pas votre texte. Vous pouvez seulement improviser. Vous ne savez pas ce que diront les autres acteurs sur la scène. Rien n'est mémorisé. Pourtant, souvent, c'est toujours la même rengaine, mais peut-être avec un titre différent.
Comme c'est étrange d'être dans un corps sur Terre. La Terre est un corps aussi. Vous et la Terre représentez bien plus que ce que vous voyez. Vous et la Terre représentez bien plus que ce que vous semblez être.
Vous êtes engagé à la Terre, et pourtant Je suis votre véritable Fiancé. Nous étions fiancés au Ciel où la Vérité vit dans Nos cœurs. Une fois fiancés, Nous sommes fiancés pour toujours. Je vous donne un diamant si énorme qu'il en est éblouissant. Je vous donne la vie dans le monde. Ce n'est pas un accident. Cherchez-Moi sur la Terre et vous trouverez tout ce que vous cherchiez. Lorsque vous Me trouvez, vous vous trouvez vous-même.
[NdT : Normand - qui traduit les Heavenletters avec moi - vient d'être hospitalisé à Perth (Australie). Souhaitons-lui un prompt rétablissement !]
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/toutes-les-relations-1-octobre-2011.html
Dieu a dit:
Vous évoluez. Vous ne cessez d'évoluer. Vous faites des progrès absolument fantastiques. Vous faites le tour de l'Univers puis vous recommencez. Vous éclipsez le monde, Mes bien-aimés. Vous l'encerclez. Vous le tenez dans vos bras. Vous portez le monde en vous. Vous lui donnez la vie.
Longtemps vous avez dépendu du monde changeant. Et maintenant vous savez que le monde dépend de vous et de la façon dont vous le percevez.
Il se trouve des mondes à l'intérieur de chaque monde. Plusieurs strates qui s'entretissent avec d'autres strates. Et vous êtes comme les tricoteurs de ces mondes. Toutes les bobines de fil vous ont été confiées. Ainsi vous tricotez le monde. Alors tricotez bien.
Chaque relation que vous nouez dans le monde est comme un engagement. Tandis que certaines font long feu, d'autres sont de courte durée. Tandis que dans certaines relations le mariage est annulé, dans d'autres il est vraiment célébré.
Je parle de toutes les relations. Les relations de familles. Les relations d'amitiés. Les relations avec de soi-disant étrangers. Même lorsque vous achetez un article dans un magasin, une relation se noue. Les yeux échangent des regards. L'achat est enregistré. Il y a des sourires. C'est le mariage.
Il y a des contrats. Il y a aussi des contrats silencieux. Des consentements sont échangés. Et lorsque les sentiments l'emportent, les règles du jeu sont changées. Ce qui a changé ne peut être caché et le mariage n'a pas toujours lieu.
Appréciez vos engagements. Engagez-vous les uns envers les autres. En définitive, Mes bien-aimés, vous vous marriez toujours à vous-même.
Vous êtes le marié et la mariée tout à la fois. Vous êtes le vendeur et le client. Vous êtes le professeur et l'étudiant. Vous jouez toute la liste des personnages dans la scène que vous avez réalisée et mise au point.
Cet aspect global de la vie relève d'un mariage des cœurs, bien que ce ne soit pas tout le monde qui vit heureux pour toujours. Ils sont nombreux dans cette situation. Considérez tout de même que la vie se renouvelle toujours. Même un engagement passé peut recommencer. Vous n'êtes jamais toujours les mêmes. Dans le monde, rien ne reste figé. Tout est changement, et parfois le changement bouillonne dans votre cœur.
Écoutez ce que je dis. Accueillez le changement. Accueillez-le. Le changement est votre ami. Bien sûr, le changement n'est pas un ami constant, mais un ami tout de même. Soyez des amis du changement. Dans le monde, Mes bien-aimés, sur la surface de ce monde, le changement est la seule constante. Le monde joue avec vous. Il change d'avis fréquemment, quotidiennement, à chaque instant. Le monde existant est un tapis qui se retire de sous vos pieds. Il n'y pas de sol ferme sur lequel se tenir. Fugace est le monde.
Vous pourriez dire que la vie se joue de vous et vous attaque par vos points faibles. En effet, elle s'avance furtivement vers vous et s'éloigne d'un pas dansant, pour revenir ou non comme et quand elle veut, peut-être avec un autre déguisement pour vous dérouter. Le monde offre sans cesse de nouvelles représentations. Et vous êtes acteurs et spectateurs tout à la fois.
Parfois vous avez l'impression d'être un pantin. Levez-vous vos bras ou est-ce quelqu'un d'autre qui le fait à votre place? Vous êtes jeté au milieu d'une scène à laquelle vous n'étiez pas préparé. Vous ne connaissez pas votre texte. Vous pouvez seulement improviser. Vous ne savez pas ce que diront les autres acteurs sur la scène. Rien n'est mémorisé. Pourtant, souvent, c'est toujours la même rengaine, mais peut-être avec un titre différent.
Comme c'est étrange d'être dans un corps sur Terre. La Terre est un corps aussi. Vous et la Terre représentez bien plus que ce que vous voyez. Vous et la Terre représentez bien plus que ce que vous semblez être.
Vous êtes engagé à la Terre, et pourtant Je suis votre véritable Fiancé. Nous étions fiancés au Ciel où la Vérité vit dans Nos cœurs. Une fois fiancés, Nous sommes fiancés pour toujours. Je vous donne un diamant si énorme qu'il en est éblouissant. Je vous donne la vie dans le monde. Ce n'est pas un accident. Cherchez-Moi sur la Terre et vous trouverez tout ce que vous cherchiez. Lorsque vous Me trouvez, vous vous trouvez vous-même.
[NdT : Normand - qui traduit les Heavenletters avec moi - vient d'être hospitalisé à Perth (Australie). Souhaitons-lui un prompt rétablissement !]
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/toutes-les-relations-1-octobre-2011.html
Le Chant du Cœur de Dieu
HEAVEN #3964 – Le Chant du Cœur de Dieu – 2 octobre 2011,
Dieu a dit:
Je chante pour vous. Vous êtes le chant de Mon cœur. Vous êtes le murmure de Mon âme. Vous êtes Mon Essence toute entière projetée dans le monde. Vous êtes la musique des Sphères.
Vous faites la joie de Mon cœur. Vous n'avez jamais été moins. Vous avez été moins seulement dans votre imagination. Le fait d'être dans un corps physique ne vous entrave pas. C'est seulement une couverture. Pourtant, tant que votre mental pense que le corps est une entrave, alors votre corps vous entrave.
Même ainsi, vous savez qu'il n'y a aucun endroit où votre mental ne peut aller. Vous n'êtes pas emprisonné dans votre cœur. Vous êtes emprisonné dans votre mental. Si votre mental dit que vous êtes en prison, alors vous êtes en prison. Vous êtes Mon essence divine sur Terre. De quelle essence pensiez-vous provenir? Et vous n'avez pourtant pas cru en votre divinité. C'est vrai que vous vous en servez peu, pourtant c'est ce que vous êtes.
Si vous étiez une étoile, vous sériez comme une étoile erratique, errante et se questionnant sans arrêt. Il y a des millions d'étoiles dans le ciel, et vous pouvez tant en voir. Vous êtes une étoile dans le ciel et il se peut bien qu'en contemplant le ciel vous vous contempliez en réalité vous-même. Je retire cela. Vous ne vous voyez pas seulement. Peut-être voyez-vous aussi des trous dans le ciel, et vous les incorporez dans votre mental et dans votre cœur. Pourtant, qu'importe votre clignotement, vous ne pouvez modifier la Vérité, et c'est la Vérité que Je dis. Vous êtes Ma Majesté Infinie. Êtes-vous une étoile déchue? Non. Vous êtes seulement déchu dans votre propre perception déficiente.
Vous êtes Ma puissance sur Terre. Il n'est pas une seule âme parmi vous que Je n'ai pas choisie. J'ai choisi chacune de vos particules. Je vous ai choisi pour Moi, pour agir en Mon nom, et lorsque c'est ce que vous faites, ce n'est pas une action, c'est la Réalité.
Ne vous considérez jamais comme un imposteur. Ce n'est pas impressionnant pour vous que d'admettre que J'ai fais de vous Mon sceptre sur Terre. J'ai envoyé Ma lumière à la Terre sous votre forme. Il n'y a pas à débattre là-dessus. C'est à vous de changer vos croyances à propos de vos tendances.
C'est à vous de chanter un chant nouveau. Chantez Mon chant, Mes bien-aimés. Chantez un chant d'amour si magnifique qu'il martèlera dans votre cœur tant et si bien qu'il vous brisera en lumière et rendra visible sur Terre Ma resplendissante gloire.
Qui représenteriez-vous sur Terre si ce n'est pas Moi? Certes, oui, vous avez passé pas mal de temps à représenter votre ego, mais désormais vous vous levez. Vous vous levez pour Moi. Quelle puissante Présence Je suis en vous! Quelle imposante Présence vous êtes, non de votre propre chef, mais en ce que vous reflétez Ma Présence.
Rappelez-vous toujours de Qui vous êtes l'enfant. Vous n'êtes pas sans nom, dispersé, séparé. Dans l'illusion, vous avez cru que vous étiez une étoile de taille très modeste. Ah, Mes bien-aimés, vous qu'est-ce que vous n'iriez pas croire!
Vous croyez en tout ce que n'importe qui peut vous dire. Désormais, croyez en ce que Je vous dis. Croyez et soyez. Je ne vous dis pas de croire et de devenir, car vous êtes déjà ce que Je dis que vous êtes.
Vous êtes comme de l'argent précieux oublié dans un tiroir. Vous vous êtes mis dans le tiroir. Et vous apparaissez comme terni. Mais la ternissure n'est pas vous. C'est juste un film qui s'est appliqué sur vous. En dessous, il y a l'argent véritable. Je dirais même que vous êtes de l'or, mais l'or ne se ternit pas. Autrement, Je vous aurai appelé l'Or de Mon cœur et J'en serais resté là. Maintenant J'ai parlé, et vous M'avez entendu.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/le-chant-du-coeur-de-dieu-2-octobre-2011.html
Dieu a dit:
Je chante pour vous. Vous êtes le chant de Mon cœur. Vous êtes le murmure de Mon âme. Vous êtes Mon Essence toute entière projetée dans le monde. Vous êtes la musique des Sphères.
Vous faites la joie de Mon cœur. Vous n'avez jamais été moins. Vous avez été moins seulement dans votre imagination. Le fait d'être dans un corps physique ne vous entrave pas. C'est seulement une couverture. Pourtant, tant que votre mental pense que le corps est une entrave, alors votre corps vous entrave.
Même ainsi, vous savez qu'il n'y a aucun endroit où votre mental ne peut aller. Vous n'êtes pas emprisonné dans votre cœur. Vous êtes emprisonné dans votre mental. Si votre mental dit que vous êtes en prison, alors vous êtes en prison. Vous êtes Mon essence divine sur Terre. De quelle essence pensiez-vous provenir? Et vous n'avez pourtant pas cru en votre divinité. C'est vrai que vous vous en servez peu, pourtant c'est ce que vous êtes.
Si vous étiez une étoile, vous sériez comme une étoile erratique, errante et se questionnant sans arrêt. Il y a des millions d'étoiles dans le ciel, et vous pouvez tant en voir. Vous êtes une étoile dans le ciel et il se peut bien qu'en contemplant le ciel vous vous contempliez en réalité vous-même. Je retire cela. Vous ne vous voyez pas seulement. Peut-être voyez-vous aussi des trous dans le ciel, et vous les incorporez dans votre mental et dans votre cœur. Pourtant, qu'importe votre clignotement, vous ne pouvez modifier la Vérité, et c'est la Vérité que Je dis. Vous êtes Ma Majesté Infinie. Êtes-vous une étoile déchue? Non. Vous êtes seulement déchu dans votre propre perception déficiente.
Vous êtes Ma puissance sur Terre. Il n'est pas une seule âme parmi vous que Je n'ai pas choisie. J'ai choisi chacune de vos particules. Je vous ai choisi pour Moi, pour agir en Mon nom, et lorsque c'est ce que vous faites, ce n'est pas une action, c'est la Réalité.
Ne vous considérez jamais comme un imposteur. Ce n'est pas impressionnant pour vous que d'admettre que J'ai fais de vous Mon sceptre sur Terre. J'ai envoyé Ma lumière à la Terre sous votre forme. Il n'y a pas à débattre là-dessus. C'est à vous de changer vos croyances à propos de vos tendances.
C'est à vous de chanter un chant nouveau. Chantez Mon chant, Mes bien-aimés. Chantez un chant d'amour si magnifique qu'il martèlera dans votre cœur tant et si bien qu'il vous brisera en lumière et rendra visible sur Terre Ma resplendissante gloire.
Qui représenteriez-vous sur Terre si ce n'est pas Moi? Certes, oui, vous avez passé pas mal de temps à représenter votre ego, mais désormais vous vous levez. Vous vous levez pour Moi. Quelle puissante Présence Je suis en vous! Quelle imposante Présence vous êtes, non de votre propre chef, mais en ce que vous reflétez Ma Présence.
Rappelez-vous toujours de Qui vous êtes l'enfant. Vous n'êtes pas sans nom, dispersé, séparé. Dans l'illusion, vous avez cru que vous étiez une étoile de taille très modeste. Ah, Mes bien-aimés, vous qu'est-ce que vous n'iriez pas croire!
Vous croyez en tout ce que n'importe qui peut vous dire. Désormais, croyez en ce que Je vous dis. Croyez et soyez. Je ne vous dis pas de croire et de devenir, car vous êtes déjà ce que Je dis que vous êtes.
Vous êtes comme de l'argent précieux oublié dans un tiroir. Vous vous êtes mis dans le tiroir. Et vous apparaissez comme terni. Mais la ternissure n'est pas vous. C'est juste un film qui s'est appliqué sur vous. En dessous, il y a l'argent véritable. Je dirais même que vous êtes de l'or, mais l'or ne se ternit pas. Autrement, Je vous aurai appelé l'Or de Mon cœur et J'en serais resté là. Maintenant J'ai parlé, et vous M'avez entendu.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/le-chant-du-coeur-de-dieu-2-octobre-2011.html
Vaquez dans Votre Propre Lumière
HEAVEN #3965 – Vaquez dans Votre Propre Lumière – 3 octobre 2011,
Dieu a dit:
Chaque tension que vous pourriez ressentir indique que vous êtes en train de vous accrocher à quelque chose. Vous pensez voir besoin d'une chose, qu'elle est nécessaire et que si malheureusement vous n'en avez pas possession, vous risquez d'être démuni. Vous avez peur d'être quelqu'un de négligeable, de ne compter pour rien s'il vous manque ce que vous croyez devoir absolument posséder.
Qu'il s'agisse d'argent ou d'un être aimé dont vous vous sentiriez dépendant, vous êtes entier. Ayez foi en vous-même. Vous êtes un Être Divin fermement établi dans Mon Cœur. Vous faut-il plus? Pendant Thanksgiving, vous voulez en plus de la dinde, toutes les différentes garnitures. Je vous dis que Nous sommes entiers. Tout le reste auquel vous vous accrochiez n'était finalement que de la garniture. Vous seriez même enclin à préférer la garniture à la Vérité.
Les garnitures ne sont en rien essentielles. Elles sont sympathiques, certes, mais pas essentielles. Il y a deux essentiels : il y a vous et il y a Moi. C'est tout. Nous sommes ensemble dans le même navire pour un long voyage. Nous sommes, pour ainsi dire, la dinde, et non les garnitures. Vous n'êtes pas tenu d'avoir toutes les garnitures. Elles ne sont, après tout, que des garnitures. Réjouissez-vous si vous en avez, et réjouissez-vous de la même façon si vous n'en avez pas. Rien en dehors de vous ne constitue votre Réalité. Les affaires extérieures peuvent vous soutenir. Elles peuvent vous apporter un certain bien-être. Elles ne sont pas constitutives de votre Être pour autant. Elles peuvent aussi provoquer en vous un malaise, et cela étant elles n'ont quand même rien à voir avec vous.
Vous n'avez pas besoin de toutes ces choses que vous pensez avoir besoin. Vous n'en avez pas besoin. Vous pouvez en avoir, certes, mais elles ne sont pas nécessaires. Ce qui est constitutif, c'est vous et c'est Moi. Tout le reste, tout ce que vous croyez avoir besoin sous peine d'être en manque de quelque chose, est accessoire, superflu, non-nécessaire.
‘‘S'accrocher à'', ‘‘tenir à'', tout cela désigne l'attachement. Les attachements doivent être abandonnés. Quant aux objets physiques que vous ne pouvez pas abandonner, vous pouvez les garder, seulement vous devez abandonner votre attachement vis-à-vis d'eux. Vous n'en avez pas besoin. Vous en dépendez peut-être, mais vous n'en avez pas fondamentalement besoin. C'est pareil pour les gens. Restez non loin de ceux qui vous sont chers mais en même temps lâchez votre emprise sur eux. Ceux que vous aimez sont des agents libres, tout comme vous êtes libre. Mieux vaut la liberté que l'attachement. Lorsque vous vous attachez, c'est votre cœur qui va se briser. Qu'est-ce qui pourrait briser votre cœur, à part l'attachement? Certainement pas la liberté. C'est votre attachement qui doit être brisé, pas votre cœur.
Pour être libre, vous devez libérer les autres. Plus vous libérez les autres de votre étreinte, et plus vous êtes libre. Vous vous libérez en même temps de votre propre emprise.
Il n'y a pas de demi-mesure : ou bien vous avez de l'attachement, ou bien vous n'en avez pas du tout. A moitié attaché, c'est être encore attaché.
‘‘S'attacher à'' ne signifie pas aimer. S'accrocher à quelqu'un ne veut pas dire que vous l'aimez. Lorsque vous lâchez-prise, quand vous abandonnez tout attachement, vous pouvez alors aimer davantage. Quand vous êtes attaché, vous avez beau appeler votre attachement de ‘‘l'amour'', ça n'en reste pas moins de l'attachement. L'amour n'a rien à voir avec l'attachement. L'attachement n'est qu'une piètre excuse pour aimer.
Alors qu'est-ce que tout cet attachement que vous expérimentez? Vous devez penser que cela sert un but. A quel but l'attachement sert-il sinon à celui de vous séparer de vous-même? Lorsque vous vous attachez à autrui, cela revient à renoncer à vous-même. Vous exercez une étreinte trop serrée sur autrui, alors que vous êtes supposé l'aimer. Les attachements finiront par se défaire et rompre. Mieux vaut rompre dès maintenant avec les attachements et offrir à tous un amour plus léger, plus facile, plus insouciant et serein.
Lorsque vous êtes attaché, vous devenez désespéré. Vous devenez désespérément amoureux. Vous devenez dépendant de l'attachement et de l'emprise alors que, ce que vous devez faire, c'est lâcher-prise et devenir détaché. Vous n'avez pas besoin d'être sur le dos d'autrui. Vous n'êtes pas un enfant qui doit s'agripper à la jupe de sa mère. Lorsque vous êtes attaché, vous devez lâcher-prise pour que vous et ceux que vous aimez puissiez vaquer librement dans votre propre lumière.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/vaquez-dans-votre-propre-lumiere-3-octobre-2011.html
Dieu a dit:
Chaque tension que vous pourriez ressentir indique que vous êtes en train de vous accrocher à quelque chose. Vous pensez voir besoin d'une chose, qu'elle est nécessaire et que si malheureusement vous n'en avez pas possession, vous risquez d'être démuni. Vous avez peur d'être quelqu'un de négligeable, de ne compter pour rien s'il vous manque ce que vous croyez devoir absolument posséder.
Qu'il s'agisse d'argent ou d'un être aimé dont vous vous sentiriez dépendant, vous êtes entier. Ayez foi en vous-même. Vous êtes un Être Divin fermement établi dans Mon Cœur. Vous faut-il plus? Pendant Thanksgiving, vous voulez en plus de la dinde, toutes les différentes garnitures. Je vous dis que Nous sommes entiers. Tout le reste auquel vous vous accrochiez n'était finalement que de la garniture. Vous seriez même enclin à préférer la garniture à la Vérité.
Les garnitures ne sont en rien essentielles. Elles sont sympathiques, certes, mais pas essentielles. Il y a deux essentiels : il y a vous et il y a Moi. C'est tout. Nous sommes ensemble dans le même navire pour un long voyage. Nous sommes, pour ainsi dire, la dinde, et non les garnitures. Vous n'êtes pas tenu d'avoir toutes les garnitures. Elles ne sont, après tout, que des garnitures. Réjouissez-vous si vous en avez, et réjouissez-vous de la même façon si vous n'en avez pas. Rien en dehors de vous ne constitue votre Réalité. Les affaires extérieures peuvent vous soutenir. Elles peuvent vous apporter un certain bien-être. Elles ne sont pas constitutives de votre Être pour autant. Elles peuvent aussi provoquer en vous un malaise, et cela étant elles n'ont quand même rien à voir avec vous.
Vous n'avez pas besoin de toutes ces choses que vous pensez avoir besoin. Vous n'en avez pas besoin. Vous pouvez en avoir, certes, mais elles ne sont pas nécessaires. Ce qui est constitutif, c'est vous et c'est Moi. Tout le reste, tout ce que vous croyez avoir besoin sous peine d'être en manque de quelque chose, est accessoire, superflu, non-nécessaire.
‘‘S'accrocher à'', ‘‘tenir à'', tout cela désigne l'attachement. Les attachements doivent être abandonnés. Quant aux objets physiques que vous ne pouvez pas abandonner, vous pouvez les garder, seulement vous devez abandonner votre attachement vis-à-vis d'eux. Vous n'en avez pas besoin. Vous en dépendez peut-être, mais vous n'en avez pas fondamentalement besoin. C'est pareil pour les gens. Restez non loin de ceux qui vous sont chers mais en même temps lâchez votre emprise sur eux. Ceux que vous aimez sont des agents libres, tout comme vous êtes libre. Mieux vaut la liberté que l'attachement. Lorsque vous vous attachez, c'est votre cœur qui va se briser. Qu'est-ce qui pourrait briser votre cœur, à part l'attachement? Certainement pas la liberté. C'est votre attachement qui doit être brisé, pas votre cœur.
Pour être libre, vous devez libérer les autres. Plus vous libérez les autres de votre étreinte, et plus vous êtes libre. Vous vous libérez en même temps de votre propre emprise.
Il n'y a pas de demi-mesure : ou bien vous avez de l'attachement, ou bien vous n'en avez pas du tout. A moitié attaché, c'est être encore attaché.
‘‘S'attacher à'' ne signifie pas aimer. S'accrocher à quelqu'un ne veut pas dire que vous l'aimez. Lorsque vous lâchez-prise, quand vous abandonnez tout attachement, vous pouvez alors aimer davantage. Quand vous êtes attaché, vous avez beau appeler votre attachement de ‘‘l'amour'', ça n'en reste pas moins de l'attachement. L'amour n'a rien à voir avec l'attachement. L'attachement n'est qu'une piètre excuse pour aimer.
Alors qu'est-ce que tout cet attachement que vous expérimentez? Vous devez penser que cela sert un but. A quel but l'attachement sert-il sinon à celui de vous séparer de vous-même? Lorsque vous vous attachez à autrui, cela revient à renoncer à vous-même. Vous exercez une étreinte trop serrée sur autrui, alors que vous êtes supposé l'aimer. Les attachements finiront par se défaire et rompre. Mieux vaut rompre dès maintenant avec les attachements et offrir à tous un amour plus léger, plus facile, plus insouciant et serein.
Lorsque vous êtes attaché, vous devenez désespéré. Vous devenez désespérément amoureux. Vous devenez dépendant de l'attachement et de l'emprise alors que, ce que vous devez faire, c'est lâcher-prise et devenir détaché. Vous n'avez pas besoin d'être sur le dos d'autrui. Vous n'êtes pas un enfant qui doit s'agripper à la jupe de sa mère. Lorsque vous êtes attaché, vous devez lâcher-prise pour que vous et ceux que vous aimez puissiez vaquer librement dans votre propre lumière.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/vaquez-dans-votre-propre-lumiere-3-octobre-2011.html
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